Critique série
Publié le 23/05/2015 à 22h03 par Grégory
Shameless (US) - Saison 2
9 /10

Frank Gallagher, père de six enfants, est à la tête d'une famille dysfonctionnelle et déjantée. Tandis qu'il passe ses journées à se saouler, ses enfants apprennent à se débrouiller seuls...

Pour le plus grand plaisir des fans, la famille Gallagher revient dans une toute nouvelle saison toujours aussi insolente, décalée et indiscutablement drôle. Nous retrouvons ainsi notre famille préférée dans une deuxième saison au coeur de Chicago pendant un été moite et torride où chaque membre devront faire preuve, une fois de plus, de débrouillardise, de courage et de volonté pour surmonter toutes les épreuves qui les attendent. Les épisodes accumulent ainsi les gags, les situations burlesques, les quiproquos et les dialogues croustillants à un rythme effréné sans que l'on est le temps de respirer. Il est certain que les scénaristes n'ont pas perdu une once d'inspiration et ont même réussi le challenge de nous écrire une saison 2 bien plus trépidante que la première.
Devant la caméra, nous avons toujours une bien jolie brochette d'acteurs aux talents indéniables : l'excellent William H. Macy ("La Défense Lincoln"...), Emmy Rossum ("Sublimes créatures"...), Justin Chatwin ("Dragonball Evolution"...), Cameron Monaghan ("Vampire Academy"...), Jeremy Allen White ("My Movie Project"...), Shanola Hampton ("Ethan Green"...), Emma Kenney ("Boardwalk Empire"...), Ethan Cutkosky ("Unborn"...), Steve Howey ("Meilleures ennemies"...), Laura Wiggins ("Dance of the Dead"...) et Joan Cusack ("Le Monde de Charlie"...). Il y a aussi une petite liste de personnages secondaires dont certains visages vous diront quelque chose. Inutile de les listes tous mais on retiendra les présences de Zach McGowan ("Terminator renaissance"...), Harry Hamlin ("Le Choc des titans"...), Taylor Kinney ("Zero Dark Thirty"...) ou encore Amy Smart ("Mirrors"...).
En résumé, une deuxième saison pour Shameless (US) plus réussie que la première avec toujours au menu un ton délicieusement vulgaire, un William H. Macy étonnant, un bon nombre de rebondissements et une bonne dose d'humour.

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