Critique série
Publié le 18/04/2016 à 13h09 par Fred
Buck Rogers au 25ème Siècle
7,5 /10

En 1987, la NASA lance le dernier de ses grands vaisseaux spatiaux. Pris dans une tempête cosmique, le capitaine William Buck Rogers est dévié de sa trajectoire, et se retrouve cryogénisé. À son réveil et retour sur Terre 500 ans plus tard, Buck Rogers découvre un monde qui a complètement changé. Une explosion nucléaire datant de 1987 a en effet bouleversé l'ordre mondial. Les survivants habitent la cité du "New Chicago". Très vite, Buck Rogers va mettre ses savoirs aux services de la défense directoriale de la Terre.

Space Opera créé en 1979 par Glen Larson (Après "Battlestar Galactica"), Buck Rogers aura d'abord droit à une sortie en salle pour son épisode pilote pour ensuite être exploitée à la télévision pendant deux saisons. Pilote de navette spatiale dans les années 80, Buck Rogers va subir une tempête cosmique qui va le plonger dans un sommeil cryogénique. Plusieurs siècles plus tard, le vaisseau est récupérée. Le pilote se retrouve sur une planète Terre qui a bien changée. Dévastée par une guerre nucléaire et sous la menace d'attaque de peuple venant d'autres planètes. Buck va intégrer une bataillon de pilote stellaire afin de défendre la Terre.

La série utilise avec subtilité un humour qui joue sur le décalage des m½urs entre un personnage typique des années 80, interprété par Gil Gerard, très à laise, qui assume parfaitement son rôle de héros braillard et machiste et une société beaucoup plus raffinée qui ne comprend plus ni son argot ni ses manières. Un deuxième degré assumé qui permet à la série d'exploiter d'autres atouts, comme des héroïnes féminines toujours très sexy (dont Erin Gray est la représentation la plus célèbre) ou encore nombreux guests de luxe qui font des apparitions tout au long des épisodes. Dés le pilote on retrouve Henri Silva ("Le Marginal") dans le rôle de Kaleel, ou encore Sid Haig ("The Devil's Reject") et Peter Graves ("Mission Impossible") par la suite.
Hautement Disco-Kitsch, le générique de début ne laisse aucun doute sur le sujet. Le design de la série relève parfois du ridicule avec des tenues extravagantes et des couleurs flashy mais tous les décors sont très soignés avec un grand niveau de détails. L'aspect daté et totalement kitsch permet d'autant plus d’apprécier le show.

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