Critique film
Publié le 27/04/2016 à 15h52 par Ciné Vor
Code Momentum
7 /10

Alex Faraday, l'une des meilleures voleuses du monde sort de sa retraite pour effectuer un dernier braquage. Lorsque son visage est accidentellement révélé pendant le vol, Alex est contrainte de fuir la ville. Cependant, un de ses collègues est froidement assassiné devant ses yeux. Elle devient à son tour, une cible pour la CIA et M. Washington, chef d'un groupe d'assassins hautement spécialisés qui souhaite récupérer la clé volée par Alex pour un sénateur corrompu. S'ensuit alors une course poursuite effrénée dans les rues de Cape Town mais les adversaires d'Alex réaliseront rapidement qu'elle n'est pas une fille si facile à arrêter et qu'elle est prête à se battre jusqu'au bout...

Directement sortie en e-cinema, "Code Momentum" débarque maintenant en vidéo, pour le plus grand plaisir des fans de la charmante Olga.
Un "Action Girl" efficace, malgré un scénario peu poussif, qui satisfera sans nul doute les admirateurs de série B et plus particulièrement les fans d’Action Movie.

Casting deux étoiles, avec la présence en tête d’affiche d’une des James Bond Girl les plus sexy de ces dernières années, la française Olga Kurylenko ("Quantum of Solace"). Ici, héroïne badass convaincante dont le charme et les formes semblent nous rappeler une perle désirable dont la nacre offre une force brute, à la fois éthique et belliqueuse.

Face à elle, l’acteur britannique James Purefoy célèbre pour ses rôles d’envergure dans les séries "Rome" et "The Following", incarne un méchant chef d’une bande d’assassins au compte d’un sénateur corrompu campé par un certain Morgan Freeman. Contrariés par les talents et la combativité de la belle Olga qui détient une preuve embarrassante pour le sénateur, les méchants passent par les méthodes fortes : Gunfight à tout-va, courses poursuites, combats musclés et punchline sympathique, le film se révèle être un divertissement sans prises de tête et agréable.

Si encore une fois, je tiens à préciser que c’est loin d’être très novateur dans le genre, on s’éclate tout de même devant ce film peu ambitieux, et c’est l’½il séduit par une photographie intéressante, une qualité d’image et de son de bonne facture que nous nous satisferons du premier film du cinéaste canadien Stephen Campanelli.

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